Table des matières
- Urs Niggli – Le problème des pesticides: la nécessité d’agir, en agriculture conventionnelle et en bio, au niveau national et mondial
- Claudia Daniel – Bien comprendre la protection des plantes
- Monika Messmer – Sélection végétale: la clé
- Lucius Tamm – Potentiel de réduction des pesticides en Suisse
- Raphaël Charles – Grandes cultures suisses 2025 sans herbicides
- Galerie de photos
- Photos de Monika Messmer
Urs Niggli – Le problème des pesticides: la nécessité d’agir, en agriculture conventionnelle et en bio, au niveau national et mondial
- Contribution (386.3 KB)
Claudia Daniel – Bien comprendre la protection des plantes
- Contribution (428.0 KB)
- Présentation (1.1 MB) (en allemand)
Monika Messmer – Sélection végétale: la clé
- Contribution (500.8 KB)
- Présentation (4.4 MB) (en allemand)
Lucius Tamm – Potentiel de réduction des pesticides en Suisse
- Contribution (520.2 KB)
- Présentation (4.9 MB) (en allemand)
- Article "Réduction des produits phytosanitaires en Suisse: la contribution de l’agriculture biologique"
Raphaël Charles – Grandes cultures suisses 2025 sans herbicides
- Contribution (229.7 KB)
- Présentation (656.2 KB)
Galerie de photos
Pesticides: seules les solutions systémiques mènent à une issue. Les chercheurs Barbara Thürig et Mathias Ludwig dans le vignoble du FiBL. (Photo: Marion Nitsch)
Le potentiel de réduction des pesticides chimiques de synthèse est fort. Des machines modernes font partie de la solution. (Photo: FiBL, Hansueli Dierauer)
Des solutions praticables et durables sont des solutions au sein du système. Des bandes fleuries sont l’un des éléments de la protection préventive des plantes. (Photo: Marion Nitsch)
Grâce au choix de variétés adaptées au site et à la sélection de nouvelles variétés, on peut faire face à des problèmes phytosanitaires. Dans le cadre de l’essai en plein champ ReMIX à Fislisbach, en Suisse, le FiBL teste des mélanges de variétés de pois et d’orge. (Photo: FiBL, Maike Krauss)
Le développement de mesures directes, alternatives et sans produits chimiques est particulièrement coûteux. Barbara Thürig, chercheuse au FiBL, teste des extraits de plantes. (Photo: Christian Flierl)
Photos de Monika Messmer
Des paysannes indiennes sélectionnent le coton dans le cadre d’un projet du FiBL en Inde. (Photo: FiBL, Matthias Klaiss)
Sur le site du FiBL, à Frick, des lignées de pois sont testées pour évaluer leur tolérance à la fatigue des légumineuses. (Photo: FiBL, Monika Messmer)
